L'Évolution a permis le développement de génotype et donc de système de communication, telles les phéromones, spécifiques à chaque espèce. Les messages transcris par ce moyen sont d'ordre vital tel que s'alimenter, se reproduire, se repérer, se défendre, ou bien même l'intégration sociale.
On retrouve des similarités dans le fonctionnement des phéromones entres les espèces, notamment dans les types de messages transmis. Pourtant, ils ne sont pas codés de la même manière (molécules diverses), mais ce sont aussi les appareils qui codes ou décodes, qui émettent ou reçoivent l'information qui détiennent des particularités propre au génotype d'une espèce.
Les phéromones humaines, par contre, suscitent des débats animés. Leur rôle dans l'attirance des humains envers d'autres humains demeure controversé, en partie parce que les canaux nasaux employés par les animaux pour sentir les phéromones semblent inactifs chez les êtres humains (certains chercheurs prétendent que cela est faux et que nous n'avons tout simplement pas identifié le nerf qui permet de les sentir).
Chaque espèce a son propre code, cela implique donc que les récepteurs de différentes espèces sont différents et ne peuvent décoder que les informations venant de leur groupe ou espèce. On observe donc ici que la différence de récepteurs montre une différence génotypique.